Les étudiants au cœur de la journée Olympique et Paralympique de l’UFR Staps

À l’occasion de la journée Olympique et Paralympique, qui s’est déroulée le 13 mars 2024, au sein du campus de La Garde, différentes activités ont été organisées. De la table ronde en passant par les ateliers sportifs, des membres du bureau des étudiants ont participé au projet.

« Ça a été compliqué, mais on a géré, ça s’est super bien passé. Ça demande beaucoup de travail, mais on est ok avec ça. De toute façon, on savait qu’organiser un tel projet allait demander des efforts », souligne Gavroche, étudiant en L3 STAPS qui est l’un des organisateurs de la journée Olympique et Paralympique.

En tant que membres du bureau des étudiants (BDE), une quinzaine d’entre eux se sont déployés pour accueillir ce moment dans les meilleures conditions possibles. Des professeurs ont également apporté leur aide notamment lors de la table ronde et dans la gestion des équipements.

Le moment qui a le plus plu aux étudiants ?

Les activités sportives ! Le cécifoot est en haut du podium pour son côté « marrant, car tout le monde se rentrait dedans », affirment deux étudiantes en Éducation Motricité. Cet handisport est assez challengeant, ce qui crée des situations imprévisibles et des moments où les éclats de rire fusent. Parmi les sports qu’elles ont essayés, figurait l’haltérophilie. Bien qu’elles aient réalisé que ce n’était pas leur tasse de thé, elles ont pu expérimenter pour la première fois ce sport qui demande force et technique.

C’est aussi ça le but de cette journée : apprendre à mieux se connaître en découvrant ce que l’on aime et ce que l’on aime moins. Le breakdance a également été très apprécié autant par les adeptes de danse que par les novices. Sans oublier les spectacles de danse réalisés par les étudiants de STAPS et dont les prestations ont été chaudement applaudies. La chorégraphie sur les violences conjugales a particulièrement été saisissante par l’alternance des gestes brusques et des gestes plus doux qui illustraient les sévices subis par les femmes et la manipulation psychologique qui l’accompagne.

« L’année prochaine, on essaiera de faire un énorme projet de journée nationale de sport et de handicap. On a déjà essayé cette année, mais malheureusement, c’était trop gros pour nous, ça nous dépasse un peu. Mais avec plus d’expérience, on y arrivera, il n’y a pas de soucis et bien sûr que cette journée, l’an prochain, sera encore meilleure », assure un Gavroche à l’état d’esprit combatif et optimiste qui partage les ambitions du BDE à toujours vouloir se dépasser malgré les difficultés rencontrées.

Tout porte à croire que l’année prochaine la barre sera mise encore plus haut. Que vont-ils donc nous réserver ? Pour savoir, il faudra y aller !