Soutenance de thèse de Jérémy MANSUI - Laboratoire MIO

Le Bureau des Études Doctorales a le plaisir de vous informer que

Monsieur Jérémy MANSUI,

Doctorant au laboratoire MIO, rattaché à l’école doctorale 548 « Mer et Sciences », sous la direction de Madame Anne MOLCARD, Professeur des Universités et M. Yann OURMIERES, Maître de Conférences, Université de Toulon, Co-encadrant de thèse soutiendra publiquement sa thèse en vue de l’obtention du doctorat en Sciences de l’environnement, sur le thème suivant :

« Observation et modélisation des macro-déchets en mer Méditerranée, de la large échelle aux échelles côtière et littorale »

Le lundi 14 décembre 2015 à 14h00, à l’Université de Toulon, Campus de la Garde, bâtiment X, Amphi X300

devant un jury composé de :

M. Bruno BLANKE, Directeur de Recherche – HDR - CNRS, Laboratoire de Physique des Océans, Université de Bretagne Occidentale - Brest (29), Rapporteur,
M. Gabriel GORSKY, Directeur de Recherche CNRS, Laboratoire d’Océanographie de Villefranche/Mer (LOV) (06), Rapporteur,
M. Richard SEMPÉRÉ, Directeur de Recherche CNRS, Laboratoire M.I.O., Campus de Luminy, Université d’Aix-Marseille (13), Examinateur,
M. François GALGANI, Responsable de Projet - IFREMER –Station de Corse, Bastia (20), Examinateur,
Mme. Isabelle POITOU, Directrice de l’Association MER-Terre, Marseille (13), Examinateur,
Mme. Anne MOLCARD, Professeur des Universités, Université de Toulon (83), Directrice de thèse
M. Yann OURMIERES, Maître de Conférences, Université de Toulon (83), Co-Encadrant de thèse

Résumé

L’objectif général de cette thèse est d’étudier les mécanismes de transport des déchets marins flottants ainsi que leur accumulation potentielle en Méditerranée, en s’appuyant sur la modélisation numérique de leur dérive ainsi que sur des observations in-situ de leur distribution. La dynamique du transport des déchets marins y est notamment analysée en termes d’échelles caractéristiques du bassin, en partant de la grande échelle jusqu’aux échelles côtière et littorale

Dans un premier temps, l’examen d’un ensemble d’expériences Lagrangiennes numériques a permis d’identifier dans le bassin des zones probables d’accumulation non permanentes à grande échelle (Mansui et al., 2015a). L’impact à l’échelle côtière d’un courant de bord (Courant Nord) et des forçages atmosphériques sur la distribution locale et l’échouage des déchets marins flottants a ensuite pu être estimé en utilisant notamment des données originales recueillies en mer et à terre (Mansui et al., 2015b, en révision).