Lieux d’échange et de réflexion, les assemblées de la Terre représentent une occasion de discuter de manière féconde de l’avenir des objectifs de développement durable (ODD). En effet, ceux-ci doivent être repensés et refondus dans la perspective de 2030 pour mieux répondre aux enjeux auxquels nous sommes confrontés.

Prenant en compte le multiculturalisme qui caractérise notre monde, les assemblées de la Terre-Mère sont l’occasion de participer à l’élaboration des prochaines lignes directrices pour inscrire notre planète dans un modèle de fonctionnement plus pérenne.

En France, en raison de leurs travaux à vocation internationale et de leur expertise sur le sujet, Caroline Regad et Cédric Riot, enseignants-chercheurs à l’Université de Toulon, ont été spécifiquement désignés pour coordonner l’élaboration et le déroulement des Assemblées de la Terre – France. Le moment venu, sur les précieux conseils de la fondatrice du programme Harmony with Nature de l’ONU, Maria Mercedes Sanchez, ils se sont associés les compétences de Victor David, chercheur à l’IRD (Marseille) et expert, comme eux, auprès dudit programme ainsi que celles de David Guignebert, chercheur associé à l’Université de Tours.

Lors du lancement officiel de l’Assemblée de la Terre-France, les quatre scientifiques dévoileront les mécanismes et les règles de fonctionnement de ce processus participatif qui s’étalera jusqu’au Sommet de la Terre de 2030.

En s’appuyant sur des standards académiques rigoureux, les Assemblées de la Terre sont un creuset d’idées où la rigueur intellectuelle et la conscience citoyenne se conjuguent pour façonner l’avenir post-2030.

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