Conférence animée par Mauricio Díaz Calderón, enseignant-chercheur à l’Université de Guadalajara au Mexique

La memoria y el ritual del Día de Muertos en el filme Coco (2017)

El filme Coco (2017) de los directores Lee Unkrich y Adrián Molina da testimonio de la vida del personaje principal, el niño Miguel Rivera, quien narra su historia como parte de un viaje iniciático para alcanzar la madurez. En el centro de este proceso se presenta la típica familia mexicana, la cual adquiere una ambivalencia muy notable : por una parte, restringe los deseos musicales de Miguel y, por otra, es fuente de reconocimiento identitario, dadas las tradiciones que la sustentan. Coco se desarrolla alrededor de la Fiesta del Día de Muertos en México y de los rituales que la acompañan. El presente análisis busca reconocer las actualizaciones y permanencias que emergen y subsisten, simultáneamente, en el filme al representar la sociedad mexicana contemporánea.

La mémoire et le rituel du Jour des Morts dans le film Coco (2017)

Le film Coco (2017), réalisé par Lee Unkrich et Adrián Molina, présente la vie du personnage principal, le petit garçon Miguel Rivera, qui fait le récit de son histoire dans le cadre d’un parcours initiatique vers la maturité. Au cœur de ce processus se trouve la famille mexicaine type, qui acquiert une ambivalence singulière : d’une part, elle entrave les désirs musicaux de Miguel ; d’autre part, elle constitue une source de reconnaissance identitaire du fait des traditions qui l’animent. Coco porte sur la fête du Jour des Morts au Mexique et les rituels qui l’accompagnent. Notre analyse cherche à identifier les actualisations et les permanences que le film fait apparaître et perpétue simultanément en représentant la société mexicaine contemporaine.